La semaine Sainte à Beauvechain

Ca y est, nous entrons dans la Semaine Sainte, la semaine la plus importante de l’année des chrétiens. Cette semaine sera vécue dans nos différentes paroisses avec des célébrations communes et des temps forts. Voici le programme. Soyez les bienvenus à l’une ou l’autre de ces célébrations.

Ensemble, faisons de cette semaine une vraie résurrection.

Joyeuses fêtes de Pâques à tous.

Maïté.

Le mot du curé: CARÊME – CHEMIN DE RETOUR VERS LE PÈRE

Au moment où nous vivons chaque année le carême, nous avons la possibilité de redécouvrir le chapitre XV de l’Évangile selon St Luc. Je pense que ce fragment de l’Évangile proclamée par notre Seigneur est la clé permettant de mieux comprendre et accueillir ce que Dieu nous a préparé dans sa Miséricorde. Nous préférons voir en ce passage du texte plutôt trois paraboles différentes : la parabole de la brebis perdue, d’une pièce d’argent perdue et du fils prodigue, la mieux connues des trois.

Pourtant, ce qu’il faut faire, c’est de les lire et de les analyser dans leur contexte propre, le plus proche. Ce contexte est désigné au début du chapitre XV, là où on peut trouver les causes de cet enseignement de Jésus et en plus, apprendre à qui exactement Il a adressé sa Parole. Ça vaut la peine de citer ce fragment du texte : « Les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole ».

Je voudrais souligner la présence de ces deux groupes de destinataires des paroles de Notre Maitre, ainsi que la phrase qui précise que Jésus Christ « …leur dit cette parabole », se laissant provoquer par les comportements à la fois des uns et des autres.

Quelle parabole ? La voici : « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? (…) « Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ? » (…) et encore : « Un homme avait deux fils »

Nous n’avons donc pas trois paraboles séparées, mais plutôt une parabole en forme d’une
triade de tableaux, avec un élément commun. Quel est l’élément à décoder, à être élaboré, par tous ceux qui ont envie de se laisser guider par la Parole divine?
Quel est – d’après vous – cet élément commun ? Quant à moi, je poserais la question autrement : Qui est le Sujet de cette parabole ? Qui est caché sous forme d’un personnage
représenté par le propriétaire de la centaine de brebis de la première partie de cette parabole, puis par une femme possédant dix pièces d’argent et enfin par le père qui avait deux fils ?

Nous avons raison, c’est le Père, avec la précision théologique : Dieu – le Père. Ce qui veut dire que notre parabole du chapitre XV de l’Évangile de Jésus Christ selon St. Luc met devant nous l’image de Dieu qui est Notre Créateur, qui nous a donné tout ce qu’il faut pour que nous ayons la plénitude du Bonheur à jamais. Cette réalité du Bonheur est représentée dans nos trois tableaux par la bergerie, par l’ensemble des pièces de monnaie dans un lieu prévu pour elles et par la maison du père où tous les fils habitent ensemble.

La perte de tout cela introduit dans le monde, des inquiétudes, du manque de compassion, de la domination de l’égoïsme et de la haine, et finalement de la mort morale de l’homme.
Telle est d’ailleurs le sens de l’exemple d’une brebis perdue, d’une pièce de monnaie perdue, et le sens de l’image du fils prodigue qui est parti de la maison de son père.
Laissons-nous guider par le Seigneur. Il nous montre la situation existentielle d’un homme, si sa relation avec Dieu devient faible ou a déjà disparu. En plus, Il nous dévoile notre vrai bonheur et nous explique comment pourra-on le trouver.

BONNE CONTINUATION DU CARÊME – À LA RENCONTRE DU SEIGNEUR
Abbé Krzysztof Rajewicz

Chemin de Carême à Beauvechain

ça y est… Le Carême a bien commencé… Et nous sommes tous invités à y vivre un chemin intérieur de prière, de jeûne et de partage.

Pour nous y aider, l’UP de Beauvechain nous propose quelques rencontres les mercredis soir pour qu’ensemble nous puissions goûter à la prière partagée.

Les prières du mercredi de Carême auront lieu: ce mercredi à Nodebais, mercredi prochain à La Bruyère… à 20h

Plus d’infos sur notre affiche.

Nous vous proposons aussi de vivre le sacrement des malades (Tourinnes, c’était hier; Hamme-Mille dimanche prochain et Beauvechain début avril). Vous pourrez également vivre le sacrement de réconciliation lors de notre dernière prière du Carême, le mercredi 10 avril à Tourinnes.

En communion avec vous tous…

Dimanche autrement: un réel succès

Quelle joie!!! 35 personnes à Tourinnes, 30 personnes à Hamme-Mille et 50 personnes à La Bruyère pour les 3 « Dimanches Autrement » vécu les 10 et 17 février dans nos paroisses. Vous étiez nombreux à découvrir le partage d’expérience autour d’un évangile. Quelle joie de vous voir vivre cette belle expérience et en sortir émus et ravis.

C’était dans le cadre de l’année « Tous disciples en mission, l’audace d’une conversion » que nous avons vécu cette deuxième étape de réflexion. Et oui, nous sommes tous disciples et chacun de nous est appelé à être missionnaire dans notre monde d’aujourd’hui.

Nous espérons que ces réflexions vous portent encore et vous permettent d’aller vers les autres avec un regard différent, celui du Christ qui nous envoie en mission.

Forts de ces beaux moments, nous nous réjouissons de vivre avec vous tous les cheminements proposés durant le Carême: les prières des mercredis du Carême. Comme chaque année, nous nous retrouverons les mercredis soir pour prier ensemble et vivre un temps d’intériorité tous ensembles. Plus d’infos très bientot.

Et concernant notre cheminement d’année, nous vous inviterons à avoir l’audace de vivre la conversion lors d’une troisième étape qui aura lieu après Pâques. Nous vous tiendrons au courant de la suite des festivités…

Dans la joie et l’espérance de cette conversion, je vous dis: A très vite…

Maïté Degryse, animatrice pastorale pour l’UP.

Dimanche Autrement

Ce dimanche, les paroisses de Hamme-Mille, Nodebais et Tourinnes vivront un « Dimanche Autrement », une matinée un peu particulière, où la Parole est remise à l’honneur et où chacun est invité à s’exprimer sur ce que la Parole lui dit personnellement.

A Hamme-Mille, c’est lors de la messe dominicale que sera vécue la réflexion autour du thème de cette deuxième étape: « Je suis une mission sur cette terre ». A Tourinnes, pour les paroisses de Tourinnes et Nodebais, comme tous les deuxièmes dimanches du mois, la matinée sera vécue différemment. En effet, un temps de partage en groupe sera proposé aux paroissiens dès 9h du matin. La célébration eucharistique continuera cette matinée un peu particulière.

Cette proposition est faites dans le cadre du cheminement proposé par l’évêque du Brabant wallon pour cette année: « Tous disciples en mission, l’audace d’une conversion. » La première étape ayant été vécue au niveau de l’UP le premier dimanche de l’Avent à Nodebais, cette deuxième étape, c’est dans les différentes paroisses que nous la vivrons.

Et pour les paroisses de Beauvechain, La Bruyère et l’Écluse, c’est dimanche prochain (17 février) que se vivra cette matinée de mission, lors de la célébration dominicale à La Bruyère.

Nous vous invitons à être nombreux lors de ces trois célébrations, car c’est l’occasion pour chacun de nous de nous mettre en marche, à la suite du Christ, dans notre société actuelle. « Comment être en mission aujourd’hui? Qu’est-ce qui me pousse à suivre le Christ? Comment puis-je le partager autour de moi? Voila quelques questions qui nous habiteront lors de ces deux dimanches un peu particulier.

Dans la joie de vivre ces célébrations avec vous.

PS: Les troisièmes et quatrièmes étapes de ce cheminement proposé par l’évêque seront vécues lors des soirées de prières du Carême (les mercredis du Carême) dans nos différentes paroisses (voir l’agenda).

Le mot du curé

Durant le temps ordinaire de la liturgie, il n’est plus question de la lumière de la Nuit de Bethléem, et on n’entend plus les chants des fêtes. Il arrive souvent que la vie quotidienne devient fatigante et fastidieuse. Le temps qui passe – dans le sens large de ce mot – rappelle sa fugacité, p. ex. par l’existence de la veilleuse, par les départs des proches, des maladies et beaucoup d’autres choses. Mais…simultanément nous participons aux évènements qui nous donnent, quand même, l’occasion de vivre de petits bonheurs de la vie, de gouter la joie de la vie qui nous est offerte. Ceci a d’ailleurs été le cas de nouveaux mariés de Cana, entourés par leurs familles, par les amis et les voisins, au moment de leurs noces.

Nous avons médité dimanche dernier cette histoire. Elle est devenue, en plus, le canevas du miracle de la transformation de l’eau en vin, fait par Notre Seigneur à la demande de sa Mère. « Le signe de Dieu est l’abondance. Nous le voyons lors de la multiplication des pains, (…) Cette abondance, c’est sa « gloire ». L’abondance de Cana est par conséquent un signe indiquant que la fête de Dieu avec l’humanité, le don de lui-même aux hommes, a commencé. » (Benoit XVI – Jésus de Nazareth, v.1 – « Du Baptême dans le Jourdain à la Transfiguration ».

Nous sommes actuellement au quatrième dimanche du temps ordinaire dans la liturgie de l’Église. Après la période des festivités, nous continuons notre vie et nos occupations quotidiennes – du moins, nous essayons. Le texte de l’Évangile de dimanche dernier nous amène à Nazareth, à la maison de prière – à la synagogue, et avec les autres nous venons d’entendre les paroles de Jésus Christ : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre » (Lc 1. 21).

Auparavant, Il avait lu un des fragments du texte biblique, prévu comme texte de la semaine. La lecture continue avec le fragment du livre du prophète Isaïe :
« L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction, Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur. » (Is 61.1)

Le mot qui m’interpelle dans l’évangile du IVème dimanche de l’année, c’est le mot « aujourd’hui », parce que ce mot veut dire « ici » et « maintenant », pas dans cinq minutes ou dans une heure, et ce « maintenant » signifie en grammaire le présent. C’est le verbe « être » en forme « est » qui qualifie, décrit l’existence du présent, du « maintenant ». Contrairement à la forme « était » qui qualifie le passé, ainsi que de la forme « sera » se référant au futur ou « serait » , lorsqu’on veut souligner la possibilité. En fait, réelle est seulement la dimension du présent.

Parce que ce qui existe maintenant, existe réellement. Le passé s’est déjà écoulé et le futur va arriver, même s’il vient dans quelques instants. “JE SUIS CELUI QUI SUIS”, déclare Dieu dans la Bible (Ex 3,14), en révélant son Nom à Moïse. Cette manière d’auto-présentation utilisée par Notre Dieu a permis à St Thomas d’Aquin de réfléchir sur le mystère de l’éternité (« Summa Theologiae », Ques. 10, art. 1-2). En Dieu n’existe que le « MAINTENANT », parce que Dieu est MAINTENANT ÉTERNEL – comme Tel qui tenait, qui tient et qui tiendra encore l’existence et la vie de l’univers, et par conséquent, la vie de nous tous – les humains de tous les temps.

St Paul, à son tour, nous dit que nous sommes les citoyens des Cieux. (Philippiens 3,20). Cela veut dire que nous avons en nous-mêmes le désir de dépasser notre dimension purement matérielle, corporelle, qui est d’ailleurs le format par lequel nous exprimons notre « être » humain individuel, composé du corps et de l’âme. Bonne expression qui peut nous aider à imaginer comment nous pouvons vivre cette unité de ces deux dimensions en soi, la voir comme la vérité sur l’homme et pas comme la condamnation de l’homme (le corps = la prison de l’âme – Platon) pourrait être l’expression : « Vivre avec la tête dans le Ciel et les pieds solidement posés sur terre ».

Chaque moment d’une prière ou d’une méditation est l’occasion d’être plongé dans ce « maintenant » divin, qui nous apporte plus de sens à notre existence humaine. Le meilleur moment reste à jamais la Messe-Eucharistie du Seigneur, durant laquelle nous sommes invités par Notre Seigneur Jésus Christ à passer, avec Lui, de la mort à la Vie et Lui permettre de toucher nos histoires personnelles marquées par le temps fuyant, à travers du « MAINTENANT » de Dieu.
Bonne semaine
Abbé Krzysztof Rajewicz

Soirée cinéma ce vendredi 1er février

Le pôle jeunes de l’UP se réunira ce vendredi 1er février pour une nouvelle « soirée cinéma ».

Le film choisi pour cette soirée c’est « Qui a envie d’être aimé? », de Anne Giafferi. C’est l’histoire d’un homme, père de famille, avocat… qui fait une expérience unique, il rencontre Dieu… Et cette rencontre le bouleverse complètement.

Nous aurons la possibilité de voir avec les jeunes quels sont les signes qu’ils perçoivent de Dieu aujourd’hui dans leur vie? Est-ce qu’ils ont déjà eu une rencontre avec Dieu…

Une soirée qui s’annonce passionnante…

Le mot du curé: Mes paroles ne passeront pas

« Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas » (II)

Retournons encore une fois aux paroles de Jésus-Christ du dimanche du mois passé : « Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. » Entre autres, Notre Seigneur nous parle ici de sa venue à la fin des temps. Ce sujet nous accompagne lors de la période de l’Avent. Par cette phrase, entendue il y a un mois, le Fils de Dieu nous a déjà placé en face de la réalité, qui nous interpelle et – avant tout – nous inquiète à cause de son irrévocabilité.

Pourquoi tout ce qui nous entoure doit disparaître, doit être détruit ? Parce que Dieu construit pour nous le monde meilleur, disent les chrétiens de tous les temps.  Et pourquoi construire le monde meilleur, si ce monde n’est pas si mauvais – pourrions-nous demander ? 

Peut-on vraiment s’en contenter ?  Sommes-nous vraiment satisfaits de son existence marquée par les maladies, les souffrances, les injustices, les guerres,la vieillesse etc. ?

Le Fils de Dieu nous promet le monde nouveau, tel qu’il avait été pensé et ensuite créé par Dieu pour l’homme et avec l’homme.  Regardons et méditons la fameuse image de cette réalité, dont nous pouvons trouver dans le chapitre 2 du Livre de la Genèse. C’est le vieux tableau représentant le temps perdu dont le souvenir est imprimé dans nos âmes à jamais.  C’est le souvenir du paradis, perdu par le pêché à l’origine de la Création, mais rebâti et recrée par la mort et surtout par la résurrection de Notre Seigneur. 

Voilà la perspective mise devant tous ceux qui veulent entendre le message de Jésus-Christ.  Je viens de dire,ceux qui veulent, parce que ce n’est pas évident pour tout le monde. Tous, nous sommes libres et beaucoup – si pas tout – dépend de notre bonne volonté, du désir de devenir le disciple de Jésus, d’une décision de le suivre à travers tous nos doutes, nos faiblesses et nos limites humains. 

Pourquoi ? A cause d’une réponse de l’apôtre Pierre : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle « (Jean 6,68), et parce que nous croyons – soutenus par son successeur du temps présent, le pape François – que les paroles du Seigneur sont éternelles.

Bonne préparation pour la fête de Noël

abbé   Krzysztof Rajewic, curé de Tourinnes-la-Grosse et Nodebais

Tous disciples du Christ, ce dimanche

Ce dimanche 2 décembre, c’est le premier dimanche de l’Avent. A cette occasion, nous nous retrouvons de nos 6 paroisses (Beauvechain, La Bruyère, L’Écluse, Tourinnes, Nodebais et Hamme-Mille) pour une matinée lors de ce dimanche, appelé par le pape François: le Dimanche de la Parole.

Cette année, nous nous retrouvons à 9h30 à Nodebais pour une matinée autour du texte des disciples d’Emmaüs. Nous réfléchirons ensemble à ce que ce texte veut nous dire pour nous aujourd’hui. Nous vivrons aussi, tous ensemble, la première démarche proposée par le Vicariat pour cette année particulière: « Tous disciples du Christ, l’audace d’une conversion ».

Lors de la messe de 11h30, les enfants de première année de catéchèse auront aussi l’occasion de vivre un événement un peu spécial: « La remise de la Bible ». Ils recevront une Bible appartenant à un membre de leur famille, pour rappeler la transmission de la Foi. Un moment-clé dans le nouveau parcours de catéchèse.

Alors, rejoignez-nous tous ce dimanche dès 9h30 à l’église de Nodebais.

Au programme: temps de partage en petits groupes, pause café et messe à 11h30. Fin de la matinée prévue vers 12h30.

Bienvenue à tous, enfants, parents, grands-parents… Les enfants seront pris en charge durant le temps de partage des adultes.


Dimanche de la Parole

Le 2 décembre, nous vivrons, comme l’an dernier, le Dimanche de la Parole en UP. Cette année encore, nous vous proposons de nous retrouver pour un temps de Partage autour de la Parole. C’est sur le texte des disciples d’Emmaüs que nous vivrons ce temps de partage.

En petits groupes de 8 adultes, nous pourrons apprivoiser la Parole, la méditer, la vivre et la comprendre. Ce temps nous permettra de comprendre aussi ce que cette Parole veut nous dire à nous personnellement aujourd’hui. Un temps bénéfique pour chacun d’entre nous.

Les enfants aussi auront l’occasion de vivre une matinée autour de cette même Parole. En équipe de catéchèse, ou en groupe, ils auront aussi l’occasion de découvrir ce que le Seigneur veut leur dire aujourd’hui.

La matinée se terminera par une célébration eucharistique à 11h30. Chacun pourra y faire remonter ce qu’il aura vécu durant le temps de partage. La chorale nous accompagnera pour que cette messe soit priante et puisse faire ressortir l’unité et la beauté de ce que nous serons en train de vivre.

Rendez-vous le 2 décembre à 9h30 à l’église de Nodebais pour une matinée un peu extra-ordinaire.

Bienvenue à tous!!!!